Général Electric

Le chiffre d’affaires de GE a dépassé 5,2 milliards de dollars dans 30 pays africains en 2013

L’annonce a été faite à l’occasion du sommet USA-Afrique lors d’une conférence sur les investissements, les infrastructures et l’innovation en Afrique ayant réuni GE avec des responsables gouvernementaux africains notamment, des experts politiques, des entrepreneurs et des chefs d’entreprises. A la faveur de cet engagement, le consortium prévoit le développement des infrastructures, la formation professionnelle et d’autres initiatives de développement durable à travers l’Afrique au cours des quatre prochaines années sachant que ce dernier a déjà remporté plus de 8,3 milliards de dollars de commandes à travers le continent, au cours des 12 derniers mois. Aussi, son chiffre d’affaires a atteint 5,2 milliards de dollars en 2013. Avec 100 ans d’existence en Afrique. GE est déterminé à préserver sa place de « partenaire engagé à la croissance durable de l’Afrique » dont « les besoins en infrastructures de base en Afrique représentent une opportunité de 90 milliards de dollars ». Selon le communiqué officiel, qui nous a été transmis, GE entend « concentrer ses investissements en Afrique dans trois domaines stratégiques, à savoir le développement d’infrastructures, la fourniture de solutions localisées aux clients et le renforcement des capacités » par le biais de la formation des compétences et le développement de la chaîne d’approvisionnement dans les collectivités locales. L’un des principaux leaders américain alimentant l’Afrique en énergie, GE garantit des technologies de pointe générant 25% du gaz africain et environ 70% de l’électricité distribuée à travers le territoire algérien. En ce qui concerne notre pays, GE collabore avec le ministère de la Santé dans le cadre de l’amélioration de la prise en charge des urgences médicales, la modernisation des hôpitaux et le soutien du gouvernement dans la construction de 10 nouveaux CHU. Au cours des dernières années, GE a renforcé  sa présence dans les marchés en développement de 15% par an comme l’a confirmé son PDG, Jeffrey R. Immelt, qui a souligné, lors de la conférence de presse, la capacité de la compagnie qu’il dirige « d’avoir une grande dynamique en Afrique et dans d’autres pays en développement à travers le monde ».